19 Mars 2008
Alala, mes chers amis, suite à ma petite news sur la sortie du nouveau single d’Ayumi Hamasaki Mirrorcle World, je ne comptais plus reparler
d’Ayumi pendant un moment vue les foudres des fans en furies que cela a entraîné, en plus j’ai même pas parler des immondes cover ou Ayu se fait sucer les petits
tétons, qui tombent en plus, par des papillons en 3d… Mais là j’ai vue le clip tourné à Paris et là tout a changé, et je ne peux pas ne pas en parler tellement il est… hum…
Bon on commence par des jolis plans sur la capitale avec un petit violon, à la limite, si on passe sur le lieu commun, ça va… Puis ça ce gate avec un plan sur Ayu qui marche avec
des talons sur les pavés (super) de façon fort étrange, je comprend pas… elle se dandine en tournant du cul avec la grasse d’une pute vietnamienne de 87 ans… Mais je pense qu’elle souffre d’une
étrange maladie qui consiste à bouger les mains dans tout les sens en les passant sur le visage, les levant, les rebaissant… c’est assez étrange…
bref le ridicule
fait presque oublier le béret super classe et les gants de cuire, qui fait très prostituée Française des années 60… On s’aperçois assez vite que d’étrange hommes la suive partout le long du clip,
je n’ai pas compris le concept de cette poursuite, puisque ils sont très très cons, marchent dans tout les sens, et n’arrivent pas à rattraper une pute en talon, cocainée, qui marche comme un
tonneau dans une rue déserte. Leur look est également sur réaliste… Il oscille entre les Blues Brother et les MIB mais version année 50 avec des gros
talkie-walkie, inutiles vue qu’ils sont à 10m l’un de l’autre… Mais bon c’est un concept Japonaise on peut pas comprendre…
Après un cours passage en Porte-jartelle très frenchy pompé entièrement sur Mylène Farmer (bravo la référence, mais Ayu est aussi sexy et glamour qu’un poulpe
des abysses.. alors forcément…), Ayu retrouve ses travers d’en temps avec les plumes sur la gueule et les faux ongles ridicules, une scène sans liens avec le reste mais on s’en
fou… On dirait vaguement Koda Kumi en vielle… je vous laisse imaginer.
Ensuite vient ma scène préférée dont le concept est « Ayu fait une crise d’épilepsie dans une énorme robe rouge ridicule dans une rue déserte » Bravo l’artiste… Une robe
immonde avec un retombé de 10m de diamètre rouge pouffe, on dirait qu’Ayu se fait bouffer par la robe c’est effrayant… Je ne parle pas de cette espèce de chignon de veille Espagnol atteinte
d’Alzeimer. Ayu cours dans la rue toujours avec des mouvements étranges puis toujours poursuivis par les crétins en noirs, elle semble perdre quelque chose de ses 20 kg de
robe… Non ce n’est pas sa dignité… Elle l’a perdu en suçant chez Avex… Heu signant… Bref on hésite encore entre un mouchoir ou une culotte DIM pour vielles ménopausées, mais ce
que l’on est sure c’est que l’un des mecs en noirs va snifer le tissu égaré… Bon dans les vieux films et dans une autre ambiance ça fait sensuel bien que d’un goût douteux et frelaté, mais c’est
bizarre avec des Japonais ça fait tout de suite bien pervers et dégoûtant… Enfin bon les jap sont crades et pervers c’est pas nouveau… (Ça s’explique en psychiatrie… Si ils étaient pas aussi
tarés on aurait pas inventé une bonne dizaine de maladie psychiatrique rien que pour les Japonais… enfin). La ruelle choisie ressemble à un coupe gorge bien parisienne… On voit encore
l’emplacement de la poubelle « Marie de Paris" et les restes d’un clodo sous un carton… Le top du glamour !